Le transport vers l'abattoir et le temps passé à l'abattoir sont souvent très stressants pour les animaux de rente. Une étude comparative de l'Institut de recherche de l'agriculture biologique (FiBL) montre que l'abattage à la ferme peut réduire considérablement le stress des animaux.
L’esparcette, une ancienne plante fourragère presque oubliée, connaît un regain d’intérêt, car elle peut entraîner une réduction des émissions chez les ruminants. Agroscope a mis en évidence un effet de réduction des émissions de méthane et d’ammoniac chez les vaches laitières nourries avec de l’esparcette.
Le secteur laitier est lui aussi appelé à réduire ses impacts négatifs sur l’environnement. Selon la race et le système de production, le coproduit viande prend des proportions différentes. Comment répartir entre lait et viande les émissions de gaz à effet de serre?